• 22 Nov. 2024 à 05h15

Neuf (09) ans après la signature de l’Accord de Paris, le monde entier enregistrera 2024 comme l’année la plus chaude jamais mesurée.

A quelques heures de la clôture officielle de la COP 29, les négociateurs de près de 200 pays s’interrogent encore sur l’issue de la grande messe du climat. Tous se penchent sur une question majeure: « Qui va payer quoi? ». Les tractations peinent à aboutir au Nouvel Objectif Collectif Quantifié (NOCQ) qui amorcera un tournant décisif dans les rapports Nord-Sud. En effet, ce compromis financier est nécessaire pour apporter un souffle plus dynamique aux actions climatiques des pays en développement, en marge de leurs propres efforts pour s’adapter aux effets néfastes des aléas climatiques.

Dans cet océan de complexité, le Bénin essaye vaillamment de tirer son épingle du jeu par des accords bilatéraux et des projections positives de ses mesures d’adaptation. Le Conseiller Technique au Développement Durable du Ministre du Cadre de Vie et des Transports et Chef de la délégation béninoise, Professeur Constant HOUNDENOU, fait un bilan dont la teneur augure de perspectives bénéfiques pour notre pays.